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LE MENHIR - BRUNOY ECOLOGIE
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17 juin 2006

L'odeur de la menthe de anne kanapitsas (16/06/06)

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Que fuit Agathe, lorsqu’elle se présente chez Monsieur Vincz, violoniste de son état, pour une place de gouvernante ?

L’affaire est vite conclue. Elle doit veiller à l’intendance du grand appartement et ne pas chercher à entrer en contact avec son singulier propriétaire. Mais, loin de perturber la jeune femme, cette étrange situation semble lui convenir tout à fait. Commence alors un huis clos silencieux où les souvenirs peu à peu remontent à la surface. On apprend qu’Agathe est venue à Paris, laissant derrière elle les rudes terres de Lozère et l’institution pour handicapés profonds où elle travaillait. Là, coupée du monde, elle s’occupait avec douceur et humanité de quelques dizaines de pensionnaires.

Revue de presse :
Au premier plan, il y a un violoniste misanthrope et autoritaire, qui engage à son service, Agathe, une jeune fille venue travailler à Paris pour oublier. Oublier l’institution de Saint-Paul-le-Froid, où elle soigna des handicapés pendants deux ans, s’épuisant à cette « misère au goutte-à-goutte ». Mais « l’oubli, ce créateur à rebours », fait resurgir sa vie en Lozère, le malheur des débiles, le courage de l’amie Marie et le corps atrophié du petit Léandre dont elle prenait grand soin. « Un roman triste », selon l’auteur, mais très beau aussi car il distille l’espoir.
R.V. LE Nouvel Observateur

Dans ce premier roman maîtrisé, à l’atmosphère étrange mais séduisante, Anne Kanapitsas évoque les cicatrices laissées par le passé et comment elles peuvent à nouveau faire souffrir.
T.R. Psychologies magazine

Sans tomber dans le pathos, l’auteur, par petites touches, peint la différence … Entre ceux qui se détournent et ceux qui osent tendre les bras ou cachent leur tendresse derrière la dureté, il y a ce premier roman, âpre parfois, mais émouvant, écrit avec délicatesse pour faire entendre la petite musique de l’âme.
Magazine : Côté Femmes

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